Premier contact avec la Triumph Tiger 1200 GT Explorer
Après une première journée passée au guidon de la nouvelle Triumph Tiger 1200 Rally Pro, notre testeur préféré a aujourd’hui pris la mesure de la version GT Explorer plutôt destinée à la route. Nous venons de recueillir ses premières impressions à chaud.
Motojournal.be : Comment c’est passé cette deuxième journée avec cette fois la version GT ?
Testeur préféré : Mieux que ce que nous avions imaginé. Ce matin, la météo n’était pas géniale et nous avons quitté l’hôtel sous la pluie. A peine le temps de découvrir cette GT Explorer en statique qu’il fallait déjà resté attentif dès les premiers mètres.
Motojournal.be : Tu ne vas pas te plaindre, car il me semble que cette moto est bardée d’électronique chargée de gérer les différentes aides à la conduite.
Testeur préféré : En effet mais au départ, histoire de conjurer le sort, j’avais laissé le mode de conduite Route actif. Je me disais que l’averse que nous rencontrions serait brève. Mais je me trompais, car nous avons roulé sous la pluie battante pendant au moins une demi-heure.
Motojournal.be : Et alors, tu as opté logiquement pour le mode Rain !
Testeur préféré : Pas vraiment, je me sentais à l’aise sur la moto avec un bon équilibre général et un moteur assez souple. Je suis donc resté sur le mode Route, c’était parfaitement gérable même avec la route détrempée. Par contre, j’ai relevé facilement la bulle réglable manuellement pour me protégé un peu mieux. Et avec mon gabarit passe-partout d’un mètre septante, c’était parfait.
Motojournal.be : Tu as donc testé la version Explorer de la Triumph Tiger 1200 GT équipée il me semble d’un réservoir de 30 litres. Tu n’avais pas un peu l’impression de conduire un poids lourd ?
Testeur préféré : Absolument pas. A part la largeur du réservoir un peu plus grande que sur la version GT Pro, rien ne change. Le poids de 255 kilos se fait pratiquement oublier dès que tu démarres. Franchement c’est étonnent. Cette Explorer est la mieux équipée de la gamme GT. Tout y est, des poignées et selles chauffantes jusqu’au régulateur de vitesse. Le freinage en côte et j’en passe. Et surtout le « Triumph Blind Spot Radar », un équipement pour la sécurité qui devrait, je pense, se généraliser sur toutes les motos. Chaque rétroviseur est équipé d’un voyant qui devient jaune dès qu’un véhicule approche par l’arrière de l’angle mort de la moto. Grâce à un radar positionné au-dessus du feu arrière.
Motojournal.be : Sinon d’autres choses à signaler ?
Testeur préféré : Oui, il me faudrait plus que 5 minutes pour les énumérer. Mais je citerai en priorité ce nouveau moteur 3-cylindres T-Plane qui est fabuleux. Docile ou colérique lorsqu’il le faut. Avec en plus un bruit typique encore jamais rencontré. Je pense que ce moulin fera date dans l’histoire de la marque. Maintenant si vous voulez plus d’informations, patientez un jour ou deux. Le temps que je puisse rédiger mon article. Alors, restez connectés !